L’Afrique n’est pas en reste des effets néfastes du réchauffement climatique, (sécheresses, inondations et désertification…). Pourtant, l’utilisation des crédits carbone (une unité équivalente à une tonne de CO2 évitée ou séquestrée) n’y est pas encore vulgarisée et continue de faire débat…C’est après l’entrée en vigueur de l’Accord de Paris, en 2015, que l’utilisation des crédits carbone a pris de l’ampleur. Il existe en ce moment deux types de marchés carbone :
1/le marché réglementé dans lequel les intervenants échangent des quotas d’émission, tandis que le second permet aux entreprises et aux gouvernements d’acheter des crédits carbone sur une base volontaire et, de cette façon, de compenser leurs émissions.
2/ le marché volontaire du carbone (MVC) qui permet aux entreprises et aux gouvernements d’acheter des crédits carbone sur une base volontaire et, de cette façon, de compenser leurs émissions. Ce marché vaut deux milliards de dollars. Il s’agit d’une opportunité immense pour l’Afrique.
Différents types de projets de réduction des émissions peuvent générer des crédits carbone, notamment les énergies renouvelables et l’efficacité énergétique l’agriculture et la gestion des terres, la gestion des déchets…
OP, Responsable communication
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